Chers policières et policiers, population du Burkina Faso
Malgré les multiples interpellations et appels à résoudre les problèmes récurrents de la police, l’UNAPOl ainsi que I’ensemble de ces policiers constatent que le ministère de la sécurité s’illustre par un refus manifeste de prêter une oreille attentive aux préoccupations des policiers. Pis, le ministère organise des activités budgétivores inutiles qui n’ont jamais rien apporté à la sécurité des populations comme le CASEM.
Vaillantes populations burkinabè, à ce Jour 30 janvier 2020, la police nationale se retrouve avec cinq (05) Directions Régionales sans directeurs régionaux régulièrement nommés, onze (11) Directions provinciales sans directeurs provinciaux régulièrement nommés, de nombreuses divisions et services vacants. Quel paradoxe dans un contexte sécuritaire nécessitant une bonne organisation opérationnelle. A cela s’ajoute environ 1200 officiers de police se trouvant dans une situation administrative et juridique Irrégulière. Pendant ce temps le MSECU se donne le loisir d’organiser un CASEM avec des thèmes ronflants emprunts de populisme sécuritaire.
L’UNAPOL considérant, que la sécurité nécessite d’abord une bonne organisation et des ressources humaines motivées et engagées, a décidé de ne pas participer à un tel CASEM.... suite de l'article sur Autre presse