Depuis l’attaque, les militaires avaient entrepris de se rendre sur place, mais les groupes armés avaient placé des mines sur les voies d’accès. Ce qui a ralenti l’arrivée des forces de défense et sécurité. Depuis samedi, les attaques terroristes touchent plusieurs régions.
C’est finalement à la mi-journée de mardi que les renforts sont arrivés sur place selon une autorité locale. Après le ratissage, les 39 corps ont été inhumés, trois jours après le massacre. Dans un communiqué, le porte-parole du gouvernement burkinabè a qualifié cette attaque du marché de Silgadji de « barbare et lâche ».... suite de l'article sur RFI