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Putsch Burkina : Les auteurs condamnés à payer 947.279.507 de F CFA aux victimes

Publié le mardi 14 janvier 2020  |  netafrique.net
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© AFP par Ahmed OUOBA
Le général Gilbert Diendéré (G) et l`ancien ministre des Affaires étrangère Djibrill Bassolé sont les pincipaux accusés dans le procès du putsch manqué de septembre 2015.
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Le tribunal militaire, statuant en matière civile et en premier ressort, a condamné, ce lundi 13 janvier 2020, plus d’une cinquantaine d’accusés dans le dossier du putsch de 2015, dont les généraux Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé, à payer « solidairement » la somme de 947 279 507 F CFA à titre de dommages et intérêts à 304 victimes.

Les parties civiles dont leurs constitutions ont été jugées recevables sont celle de Jean Marie Aghasouegauy et 289 autres, les héritiers de feu Salifou Diallo, la radio SAVANE FM Sarl, la radio OMEGA Sarl, Serge Martin Bambara dit Smokey et 11 autres, l’Etat du Burkina Faso, Gildas Yoda, Mikaïl Ouédraogo, Bouri Kobyagda, Wendwaoga Nazaire Ouédraogo, Zaharata Baré, Abdel Kader Guelbeogo, Luc Damiba et Moumini Ouédraogo.

Les ayants droit des 15 victimes du putsch décédées recevront 369 500 000 F CFA et 573 779 507 F CFA reviendront aux blessés et ceux qui ont eu des biens détruits.

Dans son verdict, le tribunal affirme avoir déclaré irrecevable l’exception d’incompétence sollicitée par Me Zaliatou Aouba et la mise en cause de l’Etat du Burkina Faso en qualité de civilement responsable. Egalement, il a débouté Me Isaac N’Dorimana de sa demande de paiement de frais exposés non compris dans les dépens.

Allez-y comprendre la logique !!
C’est vrai qu’il y’a des gens de mauvais acabit qui rôdent mais je crois pas que quelqu’un vienne à YALGADO pour du… tourisme.
Personnellement, j’aurai compris si la rigueur du controle s’appliquait à tout le monde de la même manière comme à l’Hopital Araba DIALLO de Tengandogo (chacun donne le nom qu’il veut). Et même que ce filtrage pouvait se faire au seuil des portes des salles d’hospitalisation ou de consultation.

Pour un Hôpital public de référence, le plus grand du pays, il faut absolument revoir. Déjà qu’à l’interieur pour les chambres il y’a des « categories », trouvons des parades pour que les disparités, les signes discriminatoires, l’abaissement voire le déni du droit fondamental à la SANTÉ donc à la VIE ne se fasse pas dès l’entrée du plus grand Centre de Santé du pays !
C’est du 2 portes, 2 mesures. Ooupsss je voulais dire 2 poids 2 mesures !
BON LUNDI !

Ibrahim sougrinoma Guigma
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