Des associations militant pour la paix et le dialogue interconfessionnel au Burkina se sont réunies pour célébrer la journée de la tolérance religieuse. L’événement a pris une résonance toute particulière alors que le pays a subi, le 24 décembre, l’une des attaques terroristes les plus meurtrières de son histoire.Trois jours après l’attaque terroriste qui a ensanglanté le Burkina - 35 civils, dont 31 femmes, ont été tués le 24 décembre à Arbinda, dans le nord du pays - et les deux jours de deuil national l’ayant suivi, la première célébration de la 24e Journée internationale de la tolérance religieuse, du 27 au 29 décembre, a résonné de manière particulièrement cruelle dans ce petit pays du nord sahélien.... suite de l'article sur Autre presse