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Débat sur le Sénat : l’ADF/RDA rappelle ses positions
Publié le lundi 9 septembre 2013   |  Partis Politiques


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© Autre presse par DR
Le président de l’Alliance pour la Démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA), Me Gilbert Noël Ouédraogo


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Le débat sur la mise en place du Sénat a pris une nouvelle tournure le week end écoulé avec ce que certaines personnes ont qualifié de revirement ou de trahison de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA). Un représentant de ce parti au Comité de suivi et d’évaluation des réformes politiques a déclaré à la presse, le 7 septembre en marge de la conférence de presse sur le rapport d’étape, que le nouveau format du Sénat proposé convient bien à son parti. Face au débat suscité, le parti de l’éléphant a fait parvenir à la presse le document ci-dessous qui rappelle ses positions et ses points de vue de départ sur le Sénat qu’il estime avoir été pris en compte aujourd’hui.


L’ADF-RDA, parti de la majorité, a participé du 16 au 30 août 2013 aux travaux du
comité de suivi et d’évaluation des réformes politiques dans le but d’apporter sa
contribution à la recherche de solutions pour sauvegarder la cohésion sociale dans
notre pays.

Le parti tient à rappeler que le vivre ensemble impose aux forces sociales et
politiques du Burkina Faso d’opter pour la concertation, la tolérance et la retenue.
Ainsi, au sujet de l’opérationnalisation du sénat, l’ADF-RDA, dans un esprit
d’apaisement, a défendu en toute responsabilité les points suivants :

1. Revoir le format du Sénat en réduisant l’âge minimum d’éligibilité de 45 ans à
30 ou 35 ans et prendre en compte les femmes ;

2. Réduire considérablement le nombre des sénateurs ;

3. Poursuivre la concertation afin de rechercher un consensus national avant
toute tentative de mise en oeuvre du Sénat ;

4. Veiller à ce que le sénat soit représentatif des différentes sensibilités
politiques et sociales du pays ;

5. Répondre à la demande sociale qui est plus que prioritaire. À défaut d’un
consensus et d’une réponse appropriée apportée aux préoccupations
sociales, différer la mise en place du sénat pour se donner le temps de
répondre aux urgences sociales et d’obtenir un large consensus.


Le chargé de communication



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