(Agence de presse panafricaine) -L’année qui s’achève marque le 60e Anniversaire de l’Asecna, mais au-delà du côté festif attaché à ce type de commémoration, on a délibérément choisi d’en faire plutôt un moment de réflexion afin d’offrir le meilleur en s’arrimant au mieux aux mutations très rapides et innovations technologiques accessibles.
Et c’est fort à propos qu’il a été rendu un hommage appuyé à tous ces aiguilleurs du ciel sans lesquels on assisterait chaque jour à des catastrophes aériennes dramatiques et compromettantes pour le développement du transport aérien considéré à juste titre comme le plus sécurisé et le moins pénible. et quand bien même pour ce faire, ces aiguilleurs agissent sous le prisme de la vision éclairée des directeurs généraux successifs de l’ASECNA également exaltés dans cet hommage, il ne fait point de doute que l’action conjointe de ce tandem n’aurait guère eu d’impact sans cette symbiose opérationnelle adossée sur la culture d’entreprise gagnante y impulsée par les états membres et autres partenaires de cette organisation panafricaine. une organisation qui a largement dépassé la majorité et qui a conséquemment su se prendre en mains pour se muer en recours incontournable en matière de sécurité aérienne et autres prestations connexes afin d’améliorer sans cesse la navigabilité du ciel africain et surtout assurer la totale satisfaction des usagers, partenaires et des États membres. Autant dire un défi sans cesse renouvelé rendu possible grâce au dévouement et à l’engagement de ses personnels.
bien évidemment, tout cela n’aurait été possible sans le soutien permanent et la sollicitude constante des Instances Statutaires (Conseil d’Administration et Comité des Ministres) sous le prisme des Déclarations fortes OUAGADOUGOU 2 OUAGADOUGOU 2010 et DAKAR 2019, du Comité des Ministres de tutelle, comité qui a promu la culture de l’Excellence afin mettre l’outil communautaire au niveau des normes définies par l’OACI. mieux, l’Asecna est allée bien au-delà desdites conventions et déclarations pour se muer en véritable catalyseur du développement du transport aérien sur le continent où les états ont su aliéner une partie de leur souveraineté pour faire triompher l’idéal communautaire pour en faire un véritable creuset où se brasseraient toutes les compétences nationales au sein des CRNA. Car c’est, en effet, dans CRNA.... suite de l'article sur Autre presse