Cinq ans après l’insurrection, de nombreux jeunes attendent toujours le changement tant souhaité. Même si elles ne regrettent la chute du régime de l’ex-président Blaise Compaoré, de nombreuses personnes accusent le nouveau pouvoir de conduire le pays avec les mêmes méthodes que l’ancien régime.
Comme tous les soirs, après le travail, Ferdinand Sawadogo et ses amis font des parties de pétanque. L’un des acquis de l’insurrection demeure la liberté, estime-t-il : « Maintenant, il y a beaucoup plus de liberté, de presse, de parole et de tout. »... suite de l'article sur RFI