Accusé d'être l'un des cerveaux de la tentative de putsch de 2015, l’ancien chef de la diplomatie burkinabè est jugé pour « trahison, complicité d'attentat à la sûreté de l'État, meurtres, coups et blessures ». Le parquet a requis contre lui la prison à vie.
« Les infractions qui me sont reprochées ne correspondent en rien à la réalité des faits », a déclaré Djibrill Bassolé devant le tribunal mardi. L'ancien pilier du régime de Blaise Compaoré assure être poursuivi pour des raisons subjectives et politiciennes. Il pointe du doigt un traitement de son dossier téléguidé de l'extérieur de la justice.... suite de l'article sur RFI