Pour Zéphirin Diabré, quand on parle du retour des réfugiés pour fait politique au Burkina Faso, il y a plusieurs qui posent la question de savoir « qui les a chassés ? », « ne connaissent-ils pas la route de Ouagadougou ».
Selon lui, ceux-ci tiennent ces propos sans se mettre à la place des personnes concernées.
Il poursuit en ces termes : « à supposer que l’ancien président décide de prendre l’avion et atterrir à Ouagadougou, quelles seront les conséquences politiques. Seront-elles faciles à gérer ? ».