L’enquête administrative en cours a pour but de déterminer les potentiels dysfonctionnements afin d’éviter de tels drames à l’avenir, a affirmé le porte-parole du gouvernement.
Les conditions de détentions mises en cause
D’ores et déjà, le chef de l’État a estimé que ces 11 personnes étaient mortes car « les règles en matière de mise en cellule n’ont pas été respectées » et que cela était « inacceptable ».
« J’ai instruit que toute la chaine qui relève du recouvrement de ce service soit suspendue », a affirmé Roch Marc Christian Kaboré.
Des mesures « utiles », mais « insuffisantes » pour l’opposition. Zéphirin Diabré et ses camarades exigent le jugement de ce crime et la prise de sanctions exemplaires à l’encontre non seulement de ceux qui ont commis une faute professionnelle, mais aussi contre des autorités politiques dont la responsabilité est engagée.... suite de l'article sur RFI