La musique n’a pas de frontière et elle traverse même les barreaux de la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou, plus connue comme la MACO. Derrière cette porte, se trouve Roland Tapsoba alias Rolbi.
Dans ce centre pénitentiaire surpeuplé, l’artiste de 27 ans qui purge une peine de 5 ans de prison n’hésite pas à écrire des chansons et ses codétenus l’aident à faire les chœurs. Ses chansons, des morceaux de reggae et de rap, il les interprète en moré et en français.... suite de l'article sur Autre presse