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Burkina Faso-Presse-Revue: Education, politique et justice en couverture des quotidiens burkinabè

Publié le vendredi 14 juin 2019  |  AIB
Presse-Revue
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Les quotidiens burkinabè de ce mercredi traitent des questions liées à la politique, à la justice et à l’éducation, avec le début, la veille, des examens écrits du Certificat d’études primaires (CEP).

«CEP 2019 : 419 260 écoliers frappent aux portes des lycées», arbore le quotidien à capitaux publics Sidwaya qui rapporte que le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Stanislas Ouaro, a lancé, hier mardi 11 juin 2019 à l’école Tangsèga de Koubri dans la région du Centre, la session 2019 du Certificat d’études primaires (CEP).

A ce sujet, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, mentionne : «Lancement CEP : Le Pr Ouaro ouvre la première enveloppe à Koubri».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, fait remarquer que dans la commune de Ouagadougou, ce sont «52 495 candidats à la conquête du premier diplôme».

Le même journal privé consacre sa une à la conférence de presse animée, la veille à Ouagadougou, par les premiers responsables de l’ex-parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP).

«Ce sera pour toiletter les textes et non désigner notre candidat», titre Aujourd’hui au Faso, citant le vice-président du CDP, Achille Tapsoba qui se prononce à propos du congrès du parti, annoncé pour le dimanche 16 juin prochain.

De son côté, Le Pays affiche les propos de Achille Tapsoba qui dit au sujet de la polémique autour de la désignation du candidat du CDP à la présidentielle 2020 : «Blaise Compaoré a mis fin à la récréation».

Evoquant la reprise, la veille, au tribunal militaire de Ouagadougou, du procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015, Le Pays informe que «les plaidoiries ont commencé».

Quant à Sidwaya, il relate que le procès du putsch manqué a repris, hier mardi, après près de deux mois de suspension, soulignant que «les parties civiles ont entamé leurs plaidoiries pour démontrer, en fait et en droit, à quel point les accusés sont coupables».

Le journal privé Le Quotidien reprend les propos de l’un des avocats de la partie civile, Me Prosper Farama qui déclare : «Dans l’infraction, il n’y a ni petit, ni gros poisson. Soit on est coupable, soit on est innocent».

Sur un ton un peu comique, L’Observateur Paalga, plaque ce titre interrogatif : «Procès putsch manqué : On était où déjà ?».

Agence d’information du Burkina
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