Depuis qu’il n’est plus à l’hémicycle, et qu’il a retrouvé sa fonction de banquier, on l’entend moins. Pour autant, l’homme n’a pas reculé dans son combat et reste l’un de ceux qui défendent encore dur l’idéologie sankariste en politique. Norbert Michel Tiendrébéogo, président du Front des forces sociales (FFS) est l’un des opposants les plus durs envers le pouvoir que l’on a revu lors des marches de l’opposition contre la mise en place du Sénat. Ce vent de fronde qui montre une opposition plus que jamais unie, où les idéologies ne constituent pas une entrave.... suite de l'article sur Autre presse