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Lutte contre le terrorisme: Ivoiriens et Burkinabè invités à se serrer les coudes

Publié le mardi 23 avril 2019  |  fratmat.info
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© Autre presse par DR
Lutte contre le terrorisme: Ivoiriens et Burkinabè invités à se serrer les coudes
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El Hadj Seydou Zagré, directeur de cabinet du Président burkinabè, a pris part ce lundi 22 avril, à l’apothéose d’une caravane de soutien au Président Roch Marc Christian Kaboré et aux Forces de défense et de sécurité (Fds) du Burkina Faso dans la lutte contre le terrorisme.

La cérémonie qui s’est tenue au terrain Inch’Allah de Koumassi, a enregistré une présence massive de la communauté burkinabè vivant en Côte d’Ivoire et précisément, à Koumassi. Plusieurs jeunes ivoiriens, notamment des étudiants de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) y ont également pris part.

A l’occasion, le directeur de cabinet du Président Roch Marc Christian Kaboré a appelé à la mutualisation des forces entre les pays de la sous-région et singulièrement entre les populations burkinabè et ivoiriennes pour faire face au terrorisme. « La Côte d’Ivoire et le Burkina Faso qui ne sont en réalité qu’un même peuple, doivent se serrer les coudes pour venir à bout du terrorisme… Personne n’est à l’abri. Faisons donc en sorte que le Burkina Faso ne tombe pas aux mains des terroristes », a-t-il lancé.

Tout en saluant l’initiative de cette caravane qui, selon lui, est une excellente chose, puisqu’elle contribue à la remobilisation des populations pour cette cause noble qu’est la lutte contre ce mal.

Quant au président du comité exécutif de la caravane, Désiré Yaméogo, il a rappelé le but de cette caravane dénommée « Roch merci et Soutien aux Fds ». A savoir, apporter le soutien des Burkinabè de la diaspora et particulièrement ceux vivant en Côte d’Ivoire, au Président et à l’armée burkinabè. « Nous devons soutenir nos Fds. Je demande à tous les Burkinabè de s’unir autour de l’intérêt supérieur de la nation. Tout n’est pas forcément politique. Nous devons nous battre pour laisser à nos enfants, un Burkina Faso en paix, un pays où il règne la cohésion et l’entente », a-t-il insisté.
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