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Colère des commerçants et arrestation de braqueurs au menu des quotidiens burkinabè

Publié le vendredi 29 mars 2019  |  Agence de Presse Africaine
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© Autre presse par DR
Presse, terrorisme et politique au menu des journaux burkinabè
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Les quotidiens burkinabè de ce vendredi commentent l’actualité marquée par l’arrestation d’une bande de braqueurs à Ouagadougou et la sortie des commerçants qui dénoncent la situation au ministère en charge des Finances.

Img : Colère des commerçants et arrestation de braqueurs au menu des quotidiens burkinabè
«Les commerçants souffrent de l’incivisme de la douane et des impôts», peut-on lire à la vitrine du quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui reprend les propos de El Hadj Lassané Ouédraogo, coordonnateur de la Fédération Somkieta.


A ce sujet, Le Pays, autre quotidien privé, informe que la fédération Somkiéta «Construisons le Faso ensemble », un regroupement d’acteurs du monde du commerce, a animé, hier jeudi à Ouagadougou, une conférence de presse pour «dénoncer les maux qui minent le secteur du commerce, notamment, la fraude, la concurrence déloyale, la corruption, etc. ».


Le confrère cite à sa une, le coordonnateur de la fédération Somkieta, Lassané Ouédraogo qui affirme qu’«au MINEFID (ministère de l’Economie, des Finances et du Développement, Ndlr), il y a des agents qui travaillent à conduire le pays vers le chaos».


Le journal Le Quotidien va plus loin lorsqu’il affiche la déclaration de M. Ouédraogo, selon laquelle «l’action des financiers est un acte de terrorisme qui ne dit pas son nom».


Le même journal consacre sa une à la présentation par la police, hier jeudi en conférence de presse, d’une bande de bandits spécialisée dans les vols à mains armés dans la ville de Ouagadougou et ses environnants, titrant : «La bande de Joseph Yamdaogo Bonkoungou démantelée».


A ce propos, le quotidien public Sidwaya arbore : «Lutte contre le grand banditisme : Un ancien rebelle et ses acolytes au +trou+», montrant une photo des quatre présumés délinquants.


A son tour, L’Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso, parle de «Lutte contre l’insécurité : Des membres d’une bande atypique au frais».


Selon Sidwaya, l’officier de police qui a animé la conférence de presse a fait remarquer que l’enquête est en cours et que les résultats auraient été plus probants, si un activiste sur les réseaux sociaux du nom de Naïm Touré «ne s’était pas précipité pour annoncer la mort du chef de gang…».


C’est à juste titre que Le Pays titre : «Quand Naïm Touré fait foirer les enquêtes de la police», là où Le Quotidien mentionne : «Naïm Touré accusé d’avoir entravé l’enquête».


ALK/te/APA
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