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Putsch raté au Burkina: le rôle des militaires étrangers examiné

Publié le jeudi 28 mars 2019  |  RFI
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© Autre presse par Theo Renaut/AP/SIPA
Le général Gilbert Diendéré à l`aéroport de Ouagadougou, le 18 septembre 2015.
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Au Burkina Faso, le procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015 se poursuit. Le parquet militaire continue la présentation des enregistrements attribués au général Gilbert Diendéré, cerveau présumé du coup et à certains officiers et civils étrangers considérés comme ses soutiens par l’accusation. Après Guillaume Soro, c’est au tour des généraux Soumailla Bakayoko, ex-chef d’état-major général des armées ivoiriennes et Gaoussou Soumahoro d’être présentés comme des soutiens du général Dienderé, même si plusieurs personnalités du Togo, du Mali, du Maroc ou de la Mauritanie avaient également apporté leur encouragement à l'ex-bras droit de Blaise Compaoré.
Pour le parquet militaire, les conseils des généraux ivoiriens, peuvent s’apparenter à une « ingérence monstrueuse et inacceptable ». Du côté des avocats des parties civiles, on soutient que l’implication de la Côte d’Ivoire ne se limitait ni à Guillaume Soro ni au colonel Zakaria Koné. « Il y avait au moins trois généraux ivoiriens qui échangeaient avec les généraux Diendéré et Bassolé pour organiser ce qu’ils appelaient leur coup d’Etat », souligne Me Guy Hervé Kam.

De l'argent ivoirien pour combattre
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