Avec les concertations à huis-clos du comité de suivi et d’évaluation de la mise en œuvre des réformes consensuelles, le débat sur le sénat se déporte sur le terrain juridique. D’où l’utilité d’avoir l’avis des techniciens de la matière constitutionnelle. C’est ainsi que Burkina 24 a demandé à la Société Burkinabè de Droit Constitutionnel (SBDC), d’éclairer la lanterne de ses lecteurs. Au nom du président de la SBDC, Pr Abdoulaye SOMA, c’est le vice-président de la structure, le Dr Séni Mahamadou OUEDRAOGO, qui a répondu aux questions.... suite de l'article sur Autre presse