Les Blancs seraient victimes de racisme en France. Minoritaires en Afrique noire, on imagine leur calvaire! Texte et dessin de Damien Glez.
On n’a jamais autant parlé de racisme que depuis la remise en cause de la notion de race…
En 2001, la publication du séquençage du génome humain démontrait que les individus noirs, jaunes ou blancs de la planète bleue partageaient 99,99% du même code génétique. Un code de l’homo smartphone notamment hérité d’un aïeul qui vécut plus de 200.000 ans en Afrique. Et de nombreux politiciens de conclure, à l’époque, que les races n'existaient pas.
Dans la sphère intellectuelle et scientifique, le médecin généticien et essayiste français Axel Kahn reconnaissait que «les races humaines n'existent pas au sens où l'on parle de races animales distinctes».
Ouf! La classification raciale n’aurait donc été qu’un montage prétendument scientifique pour justifier la domination coloniale ou l’extermination systématique. Eventé, cet argument de pacotille ne pourrait plus soumettre une partie de l’espèce humaine au rôle de bétail corvéable à merci.
«Briser un tabou»
Le règne actuel du «politiquement correct», pourfendu par des journalistes comme Eric Zemmour, devrait logiquement enfoncer le clou des découvertes scientifiques d’hier: conformément à la science, les races n’existeraient plus; conformément à la bienséance, on ne rirait plus des différences…