Le code pénal du Burkina Faso subit des relectures et amendements pour prendre en compte des nouveaux types de crimes et délits.
En effet, de nos jours les actes terroristes et délits sur des réseaux sociaux ,constituent des fléaux nouveaux dont la sanction n’était pas expressément prévue dans le code pénal vétuste du Burkina.Ainsi,au cours de leur première session ordinaire de mars à juin 2019,les députés burkinabè vont examiner et adopter un projet de loi portant sur des textes applicables à la répression de ces délits.
Des peines pouvant aller jusqu’à 5 ans de prison fermes sont prévues dans l’ arsenal juridique du code pénal du Burkina Faso pour ces délits .On se rappelle,que le même code avait connu une relecture en 2018 pour y extirper la peine de mort.