Les médias en ligne du Burkina Faso continuent de commenter largement, ce samedi, l’actualité nationale marquée, la veille, par la commémoration de la Journée internationale de la femme.
Dans sa rubrique « Société », Lefaso.net titre: «8 Mars à Bobo: Dans la sobriété et les prières pour la paix au Burkina». Ce site d’informations souligne qu’à l’instar de tous les pays du monde, le Burkina a célébré le vendredi 8 mars 2019, la 162e Journée internationale de la femme sous le thème principal : «Contribution de la femme à l’édification d’un Burkina Faso de sécurité, de paix et de cohésion sociale».
Selon le confrère, à Bobo-Dioulasso (2e ville du Burkina), il a été choisi comme sous-thème : «Reconnaissance, valorisation et promotion des femmes battantes de la région des Hauts Bassins».
De son côté, Fasozine.com évoque le sujet dans sa rubrique politique, où il affiche: «8-mars: les femmes du Burkina invitées à s'engager à l'édification d'un Burkina de sécurité».
Ce média en ligne fait observer que cette année, la ville de Koupéla (Province du Kouritenga/Région du Centre-est) a eu l'honneur d'abriter la cérémonie officielle de commémoration de la journée internationale de la femme, placée sous le patronage de l'épouse du chef de l’Etat, Sika Kaboré.
«Plusieurs activités ont été au programme, parmi lesquelles une conférence publique sur le thème central et trois sous thème à savoir : rôle des femmes dans la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent au Burkina, contribution de la femme à la sauvegarde et à la promotion de la paix et de la cohésion sociale, lutte contre le terrorisme violent au Burkina: quelle forme de collaboration entre FDS et les populations? », rapporte Fasozine.com.
Pendant ce temps, QueenMafa, ce journal en ligne dont le slogan est « L’actu au féminin » évoque la journée internationale de la femme à travers plusieurs articles.
Entre autres, le journal donne la parole à Dr Nestorine Compaoré, ancienne ministre de la Promotion de la femme, sous le régime Blaise Compaoré qui avoue : «J’ai cette sensation de n’avoir pas pu achever ce que j’étais en train de bâtir».