Apolline Traoré a livré un nouveau plaidoyer pour les femmes avec son film « Desrances », projeté en compétition mardi au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
Deux ans après Frontières qui l’avait fait connaître à l’international, déjà sélectionné au Fespaco, la jeune réalisatrice burkinabè met en lumière le courage et la sagesse des femmes face à la folie des hommes, dans une fiction située pendant la tragique crise post-électorale ivoirienne de 2010-11, où 3 000 personnes périrent.... suite de l'article sur Jeune Afrique