Manques de moyens, retards dans la mise en place opérationnelle de la force conjointe, manques d’investissements dans le développement…. Alors que son pays vient de prendre la présidence tournante du G5 Sahel, à l’issue du sommet de Ouagadougou, le ministre burkinabè des Affaires étrangères réponds pour Jeune Afrique aux critiques adressées à l’initiative sahélienne.
Critiqué pour son manque d’efficacité, le G5 Sahel doit encore trouver les moyens d’endiguer l’insécurité permanente qui sévit aux frontières communes des pays qui le composent, le Mali, le Burkina Faso, la Mauritanie, le Tchad et le Niger.... suite de l'article sur Jeune Afrique