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Dialogue social dans le secteur des transports : mise en œuvre des recommandations du HCDS

Publié le mardi 29 janvier 2019  |  Service d’Information du Gouvernement
Vincent
© Autre presse
Vincent Timbindi Dabilgou, ministre des transports, de la mobilité urbaine et de la Sécurité routière du Burkina Faso
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Le vice-président Salifou SANGARE, Représentant le Président du Haut conseil du dialogue social (HCDS), le Professeur Doma Jean Marc PALM, a pris part à l’atelier national de validation des textes sur la gestion du fret du Burkina Faso, le mardi 22 janvier 2019, à Ouagadougou.

Sur invitation du ministère des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière, le Haut conseil du dialogue social, en la personne de son vice-président, Monsieur Salifou SANGARE, Représentant le Professeur PALM, a participé à l’atelier national de validation des textes sur la gestion du fret du Burkina Faso.

Cet atelier s’inscrit dans le cadre des travaux de relecture de l’arrêté n°2015-0087/MIDT/SG/DGTTM du 17 décembre 2015 portant modalités pratiques de gestion et de contrôle du fret du Burkina Faso en importation et en transit par les ports de Tèma et de Takoradi au Ghana, en vue de son extension aux autres ports de desserte du Burkina Faso.

Au cours de l’atelier, un décret portant gestion du fret généré par le commerce extérieur du Burkina Faso et un arrêté portant modalités de gestion et de contrôle du fret en provenance ou à destination du Burkina Faso, ont été passés à la loupe par les représentants de l’administration et ceux des organisations syndicales, en présence du HCDS.

En rappel, la gestion du fret au Burkina Faso avait provoqué, courant août 2018, une crise opposant l’Organisation des transporteurs routiers du Faso (OTRAF) à l’Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB). Certains chauffeurs routiers avaient instauré un blocus sur le transport des marchandises et des hydrocarbures. En réaction à ce mouvement d’humeur, le gouvernement a suspendu les deux structures.

Se saisissant du dossier, le HCDS a négocié une sortie de crise salué par le gouvernement, les deux organisations faitières et les instigateurs du blocus. Le HCDS avait en son temps, fait des recommandations, parmi lesquelles la mise en œuvre de la réforme dans le secteur des transports.

Cet atelier de validation marque donc le début de l’application des recommandations et matérialise la volonté du gouvernement, de l’OTRAF et de l’UCRB à trouver une solution pérenne afin de « préserver les intérêts économiques et sociaux du Burkina Faso ».
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