L'organisation financière internationale a validé, le 21 décembre, le décaissement de 25,1 millions de dollars (22 millions d'euros) en faveur du Burkina Faso, mais elle met en garde le pays : alors que les dépenses en matière de sécurité augmentent, la hausse de la masse salariale du secteur public devient « insoutenable ».
Le 21 décembre, le conseil d’administration de l’organisation de Bretton Woods a achevé la première revue de l’accord de financement triennal conclu entre le FMI et le Burkina Faso le 14 mars dernier au titre « de la facilité élargie de crédit », portant sur un prêt de 157,6 millions de dollars (127,5 millions d’euros). Cette première revue a validé un décaissement immédiat de 25,1 millions de dollars, ce qui porte le total des sommes débloquées à ce jour à 50,1 millions de dollars.... suite de l'article sur Jeune Afrique