A l’issue du second round de négociations entre le gouvernement burkinabè et la Coalition contre la vie chère, les autorités ont décidé de maintenir la hausse de 12% du carburant, entrée en vigueur le 9 novembre dernier.
Après sept heures de discussions, le gouvernement a accepté de procéder à un audit des sociétés d'Etat des hydrocarbures et de l'électricité et de saisir et d'identifier les fonds détournés par les dignitaires de l'ancien régime de Blaise Compaoré.... suite de l'article sur RFI