L’audition de Boureima Kéré, ex-chef d’état-major particulier de la présidence lors du coup d’État manqué de 2015, qui a débuté lundi et se poursuivait mardi et mercredi devant le tribunal militaire de Ouagadougou, fait de nouveau planer le doute sur un éventuel soutien de militaires ivoiriens.
Si c’est lui qui a signé la déclaration du Conseil national de la démocratie (CND), lue à la télévision nationale le 17 septembre 2015 pour annoncer la dissolution du gouvernement et la « démission » du président, le colonel-major Boureima Kéré décline toute responsabilité quant à son implication dans le coup d’État.... suite de l'article sur Jeune Afrique