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FCSA : des dirigeants africains soulignent l’importance du sommet de Beijing (SYNTHESE)

Publié le mardi 11 septembre 2018  |  Xinhua
Tables
© présidence CI par DR
Tables rondes du 3e Sommet Chine - Afrique
Beijing, le mardi 04 septembre 2018. le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part à des tables rondes du 3e Sommet Chine
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En amont du Sommet du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), qui aura lieu lundi et mardi dans la capitale chinoise, de nombreux dirigeants africains ont souligné l'importance de cet événement historique tout en exprimant leurs attentes.

Ce sommet représente une occasion importante pour le développement commun des pays africains et de la Chine, indique le président camerounais Paul Biya, ajoutant que son pays oeuvrera avec la Chine afin de promouvoir le partenariat de coopération stratégique global entre la Chine et l'Afrique.

Notant que ce sommet revêt une grand importance pour la solidarité et la coopération entre l'Afrique et la Chine, le président sud-soudanais Salva Kiir exprime l'espoir de voir le Soudan du Sud continuer à apprendre du développement économique et social de la Chine.

Ce sommet est historique dans un monde qui cherche à s'améliorer pour assurer la survie de l'espèce humaine, qui fait aujourd'hui face à de nombreux défis, estime Thomas Motsoahae Thabane, Premier ministre du Lesotho. C'est un exemple de plus de l'engagement de la Chine envers le bien-être et le développement de l'Afrique, ajoute-t-il.

La Guinée équatoriale attend beaucoup du sommet de Beijing et elle est convaincue que le sommet apportera plus de bien-être aux peuples africains et chinois, indique son président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

Parlant du thème du sommet de Beijing "Chine et Afrique : vers une communauté de destin encore plus solide via une coopération gagnant-gagnant", le président congolais Denis Sassou Nguesso y voit une "grande idée". Selon lui, "un sommet qui réunit la Chine et l'Afrique, c'est déjà un maillon important de ce projet qui devrait faire que les peuples du monde se mettent ensemble, conjuguent leurs efforts ensemble pour relever ces défis (terrorisme, insécurité, changement climatique, etc.)".

Selon le président guinéen Alpha Condé, le sommet de Beijing va "se concentrer cette fois-ci dans l'approfondissement des méthodologies et modalités de coopération, le renforcement des capacités de coopération et surtout au niveau des stratégies plus claires, impliquant le secteur privé chinois, la création d'une agence et la présence plus grande des banques chinoises et d'investisseurs chinois".

Ce sommet "sera l'occasion pour le Gabon de promouvoir les investissements dans des projets prioritaires issus de secteurs variés et porteurs de croissance définis dans ma stratégie économique. C'est notamment le cas dans l'agriculture, les mines, le bois, le tourisme, les nouvelles technologies de l'information, etc.", note le président gabonais Ali Bongo Ondima.

Le président du Mozambique, Filipe Nyusi, déclare pour sa part que son pays souhaite apprendre de la construction du parti au pouvoir et de la gouvernance de l'Etat de la Chine. Il salue l'initiative "la Ceinture et la Route" proposée par le président chinois Xi Jinping, déclarant que le sommet de Beijing fera progresser de manière efficace la coopération mutuellement bénéfique entre la Chine et les pays africains et promouvra le développement commun.

Le Soudan soutient "la Ceinture et la Route" et la proposition de construire une communauté de destin Chine-Afrique encore plus forte, assure le président soudanais Omar el-Béchir.

Parlant du thème du sommet de Beijing "Chine et Afrique : vers une communauté de destin encore plus solide via une coopération gagnant-gagnant", le président congolais Denis Sassou Nguesso y voit une "grande idée". Selon lui, "un sommet qui réunit la Chine et l'Afrique, c'est déjà un maillon important de ce projet qui devrait faire que les peuples du monde se mettent ensemble, conjuguent leurs efforts ensemble pour relever ces défis (terrorisme, insécurité, changement climatique, etc.)".

Selon le président guinéen Alpha Condé, le sommet de Beijing va "se concentrer cette fois-ci dans l'approfondissement des méthodologies et modalités de coopération, le renforcement des capacités de coopération et surtout au niveau des stratégies plus claires, impliquant le secteur privé chinois, la création d'une agence et la présence plus grande des banques chinoises et d'investisseurs chinois".

Ce sommet "sera l'occasion pour le Gabon de promouvoir les investissements dans des projets prioritaires issus de secteurs variés et porteurs de croissance définis dans ma stratégie économique. C'est notamment le cas dans l'agriculture, les mines, le bois, le tourisme, les nouvelles technologies de l'information, etc.", note le président gabonais Ali Bongo Ondima.

Le président du Mozambique, Filipe Nyusi, déclare pour sa part que son pays souhaite apprendre de la construction du parti au pouvoir et de la gouvernance de l'Etat de la Chine. Il salue l'initiative "la Ceinture et la Route" proposée par le président chinois Xi Jinping, déclarant que le sommet de Beijing fera progresser de manière efficace la coopération mutuellement bénéfique entre la Chine et les pays africains et promouvra le développement commun.

Le Soudan soutient "la Ceinture et la Route" et la proposition de construire une communauté de destin Chine-Afrique encore plus forte, assure le président soudanais Omar el-Béchir.
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