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Burkina Faso : le chef de la diplomatie réagit à l’interview de Guillaume Soro

Publié le lundi 23 juillet 2018  |  Infos Plus Gabon
Ouverture
© aOuaga.com par E. Gadegbeku & Parfait Tchako
Ouverture de la 10è Conférence des Présidents de Parlements d`Afrique membres de l`APF (Assemblée Parlementaire de la Francophonie)
Lomé, le jeudi 15 mars 2018. Ouverture de la 10è Conférence des Présidents de Parlements d`Afrique membres de l`APF (Assemblée Parlementaire de la Francophonie). Jusqu`au 16 mars, ces parlementaires planchent sur le flux migratoire et ses impacts sur le développement de l’Afrique, la situation du G5 Sahel et d’autres thèmes connexes. 15 pays prennent part à cette 10è Conférence des Présidents de Parlements d`Afrique membres de l`APF. Guillaume Soro, 1er vice-président de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie, et Président de l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire fait partie des principaux invités à cette Conférence. Photo: Guillaume SORO
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Ouagadougou, Burkina Faso, - Le ministre burkinabé des Affaires étrangères, Alpha Barry, a réfuté dimanche à Ouagadougou, les propos du président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, qui a expliqué à des médias français que la question de son mandat d’arrêt international pour son implication présumée dans le putsch de septembre 2015 au Burkina Faso a été "réglée diplomatiquement".

"Il n’a jamais été question de règlement diplomatique du mandat d’arrêt contre Guillaume Soro, nous avons parlé de la gestion diplomatique des conséquences de ce mandat", a déclaré dimanche à Ouagadougou, lors d’une conférence de presse, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Alpha Barry.

Le 8 janvier 2016, la justice militaire burkinabé en se basant sur des "écoutes téléphoniques", avait émis un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, pour son implication présumée dans le coup d’Etat manqué contre le gouvernement de transition burkinabé en septembre 2015.

Ce mandat avait été annulé le 28 avril 2016 par la Cour de cassation pour "vice de forme", rappelle-t-on.

Au total, 84 militaires et civils sont devant les juges dans le cadre ce dossier du coup d’Etat.
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