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Maco : «les gardes pénitenciers ont refusé que l’UPC voit les étudiants détenus»
Publié le lundi 12 aout 2013   |  fasozine.com


Activité
© aOuaga.com par A.O
Activité partis politique : conférence de presse du parti Union pour le Progrès et le Changement (UPC)
Jeudi 07 mars 2013. l`Union pour le Progrès et le Changement (UPC) à tenu une conference de presse pour expliquer comment le CDP parti au pouvoir à recuperé la mairie de l`arrondissement 5 de ouagadougou dans le Kadiogo


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Alors qu’elle rendait visite aux étudiants incarcérés après les manifestations ayant suivi la décision de fermeture des cités universitaires, une délégation de l’Union pour le progrès et le changement (UPC-opposition) s’est vu interdire dimanche l’accès de la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou. C’est le président du parti lui-même qui l’annonce sur sa page officielle Facebook.
Selon Zéphirin Diabré, c’est aux environs de 13h30 le dimanche que trois membres du comité de soutien créé par le parti, et Me Hervé Kam, membre du collectif d’avocats ayant en charge la défense des étudiants, se sont rendu à la prison civile de Ouagadougou. Me Kam devait faciliter l’accès des visiteurs aux prisonniers.

«Malheureusement, les gardes pénitenciers ont refusé que les membres de l’UPC voient les étudiants. Seul Maitre Kam a été autorisé à leur parler. Il a transmis les encouragements de la délégation et le paquet de nourriture qui avait été prévu à cet effet. Il a attesté que les étudiants avaient le moral. Ces derniers ont du reste écrit un mot de remerciement à l’endroit de la délégation de l’UPC restée à la porte de la prison», peut-on lire sur la page officielle du chef de file de l’opposition.

Le procès de ces étudiants doit se tenir ce mardi 13 août à Ouagadougou. Ils ont été interpellés le 1er août et déférés le lendemain par les forces de l’ordre suite à une manifestation contre la fermeture des cités et restaurants universitaires. Les troubles avaient engendré d’importants dégâts matériels. Une quinzaine d’avocats, répondant pour la plupart à l’appel du Syndicat des Avocats (lui-même saisi par l’Union générale des étudiants burkinabé et le Mouvement burkinabé des droits de l’homme) se sont constitués à leurs côtés.

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