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La presse en ligne burkinabè, commente la Conférence nationale sur les salaires des fonctionnaires

Publié le samedi 16 juin 2018  |  AIB
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© Autre presse par DR
Revue de presse Burkinabé
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Ouagadougou, - La Conférence nationale sur le système de rémunérations des agents de la fonction publique au Burkina Faso, constitue l’un des sujets phares abordés par la presse en ligne, ce vendredi, jour férié en raison de la fête de ramadan.

«Burkina: Les salaires des fonctionnaires d’Etat bientôt remaniés», titre Burkina24.com qui rapporte que la conférence sur la rationalisation du système de rémunération des agents publics de l’Etat a connu son épilogue, hier jeudi 14 juin 2018 à Ouagadougou.

Empruntant les termes du Premier ministre Paul Kaba Thiéba, le journal en ligne souligne que ce «dialogue patriotique», s’est terminé par la formulation de plusieurs recommandations, dont la réduction de la durée de maintien de la rémunération des ministres et députés.

Burkina24.com renseigne que les participants à la conférence nationale ont préconisé la suppression des institutions tels que du Conseil économique et social (CES), le Médiateur du Faso, le Haut représentant du président du Faso, ainsi que le recadrement des fonds communs (FC), à partir du 1er janvier 2019.

De son côté, Fasozine.comse contente de publier le rapport général de la Conférence nationale des forces vives de la nation sur le système de rémunération des agents publics de l’Etat qui s’est tenue du 12 au 14 juin 2018 à Ouagadougou.

Quant à Alerte info, un autre média en ligne, il affiche: «Burkina: Les forces vives recommandent au gouvernement de +négocier l’accalmie avec les syndicats de la fonction publique+».

Ce confrère rappelle que la Coordination des syndicats de la fonction publique (CSFP) exigeait, pour sa présence, que le format des discussions sur le système de rémunération des fonctionnaires soit réduit au gouvernement et aux syndicats, et donc qu’elles n’incluent pas les forces vives.

«Outre la CSFP, la Confédération Générale du Travail du Burkina (CGT-B), a également refusé de prendre part à la conférence, qui a toutefois vu la participation de cinq centrales syndicales et 21 syndicats autonomes», relate Alerte info.

Pour sa part, Lefaso.net pose la question suivante: «Réforme de la fonction publique burkinabè: Faut-il s’attendre à la suppression de certaines institutions de la république ?».

Agence d’information du Burkina

ata/ak
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