C'est ce qu'affirme le Congrès pour la démocratie et le Progrès (CDP), à la veille de l'audience qui doit se tenir à Paris mercredi 13 juin pour examiner la demande d'extradition de François Compaoré. Pour le CDP, l'abolition de la peine de mort a été « accélérée » pour « répondre aux interrogations de la justice française ».
C’était l’un des gages des avocats de l’État lors l’audience de la demande d’extradition de François Compaoré, devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris le 28 mars. C’est chose faite depuis le 31 mai : la peine de mort est abolie au Burkina.... suite de l'article sur Jeune Afrique