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Enseignement, politique et justice au menu des quotidiens burkinabè

Publié le vendredi 1 juin 2018  |  AIB
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© Autre presse par DR
Revue de presse Burkinabé
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Les quotidiens burkinabè de ce vendredi abordent divers sujets dont ceux liés à la politique, à la justice et à l’enseignement, notamment le cinquantenaire du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) qui se déroule à Ouagadougou.

«Enseignement supérieur en Afrique: Noces d’or du CAMES à Ouaga», arbore en première page, le quotidien privé Aujourd’hui au Faso qui informe que le Premier ministre burkinabè Paul Kaba Thiéba a présidé, hier jeudi à Ouagadougou, l’ouverture du conseil des ministres de l’institution panafricaine.

Selon le journal, à l’occasion, il (le Premier ministre) s’est réjoui de la célébration des 50 ans d’existence de l’institution panafricaine.

A ce sujet, le quotidien national Sidwaya affiche : «35esession du Conseil des ministres du CAMES : Relever les défis de l’enseignement supérieur».

Le même journal, dans sa page politique renseigne que le Burkina Faso s’inspire de l’expérience du Danemark en matière de dialogue politique.

Le confrère indique que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a rencontré, hier jeudi au palais présidentiel, une délégation de responsables de 14 partis politiques de la majorité et de l’opposition, représentés à l’Assemblée nationale.

«Les visiteurs ont fait le point d’une mission portant sur le dialogue politique, effectuée quelques jours plus tôt au Danemark», rapporte Sidwaya, précisant que le porte-parole des missionnaires était Me Bénéwendé Stanislas Sankara.

Parlant de cette actualité, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso, titre: «Dialogue politique : Majorité et opposition à l’école du Danemark».

Sidwaya informe que les députés de l’Assemblée nationale ont adopté, hier jeudi, le nouveau code pénal. Et de souligner que «cette modification ainsi opérée en présence du ministre de la Justice, René Bagoro, a consacré la suppression de la peine de mort au Burkina Faso».

A ce propos, L’Observateur Paalga, affiche en manchette cette interrogation: «Nouveau Code pénal: Suppression de la peine de mort pour accueillir François Compaoré ?».

Agence d’information du Burkina

ak/ata
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