On en sait plus sur les raisons qui ont conduit les forces de sécurité burkinabè à conduire l'opération antiterroriste à Ouagadougou, le 22 mai : l'enquête avait démarré grâce à l'analyse du téléphone de l'un des assaillants des attaques du 2 mars dans la capitale.
L’opération antiterroriste qui, le 22 mai à Ouagadougou, a permis de neutraliser un groupe de quatre jihadistes présumés (deux Burkinabè et un Malien tués, un second Malien interpellé) a été le fruit d’une longue enquête. Celle-ci a commencé après les attentats du 2 mars, à partir de l’analyse du téléphone de l’un des assaillants abattus à l’ambassade de France.... suite de l'article sur Jeune Afrique