Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Burkina Faso : Simon Compaoré, toujours prêt

Publié le mercredi 9 mai 2018  |  Jeune Afrique
Burkina
© aOuaga.com par G.S
Burkina : le Conseil des frontières tient sa 2e session ordinaire
Lundi 20 février 2017. Ouagadougou. Le Conseil des frontières tient toute la journée sa 2e session ordinaire de l`année dans la salle de conférences du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération et des Burkinabè de l`extérieur. Photo : Simon Compaoré, ministre de l`Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité intérieure
Comment


Au Burkina, l’ex-maire de Ouagadougou est aussi populaire que controversé. Surtout depuis qu’il s’est rendu en pleine nuit, armé d’une kalachnikov, chez un député qui avait claqué la porte de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), « afin de le protéger », avait-il alors assuré.

Nommé fin janvier ministre d’État auprès de Kaboré, Simon Compaoré, également président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), assure aider le chef de l’État à mettre en place son programme afin d’obtenir un plébiscite en 2020. Âgé de 65 ans, il a été de tous les combats politiques des trente dernières années au Burkina.

Clandestinité et communisme
Comme nombre d’étudiants africains formés en France, ce diplômé en économie de l’université de Dijon s’engage tôt en politique. Il passe par l’Association des étudiants voltaïques en France (actuelle Union générale des étudiants burkinabè), véritable pépinière de dirigeants, puis entre dans la clandestinité au sein de l’Union des luttes communistes reconstruites (ULCR).

C’est à cette époque qu’il se rapproche de Kaboré, de Basile Guissou, promu ministre des Affaires étrangères sous la révolution, et du politologue Jean Marc Palm, nommé récemment à la tête du Haut Conseil du dialogue social.
... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires

Dans le dossier

Société civile
Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux

Comment