En attendant d'être fixé sur la demande d'extradition formulée par la justice bukinabè, dans deux mois, le frère de l'ancien président n'a plus de passeport et doit signer deux fois par mois dans un commissariat de police.
François Compaoré avait été convoqué le 28 mars par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. Il saura le 13 juin s’il sera extradé à Ouagadougou, comme le demande la justice burkinabè, qui souhaite l’entendre au sujet de l’assassinat du journaliste Norbert Zongo. Pour Pierre-Olivier Sur, son avocat, il est exclu que les juges français accèdent à cette requête.... suite de l'article sur Jeune Afrique