Il y a un mois, le 2 mars dernier, Ouagadougou était la cible d'un double attaque terroriste, contre le l'Etat-major général des armées et contre l'ambassade de France, deux symboles forts, des sanctuaires que certains pensaient inviolables. Une double attaque quasi-simultanée, d'une ampleur jamais égalée, au lourd bilan humain (huit militaires tués, 61 blessés). Le Burkina Faso avait déjà été frappé notamment en 2016 et 2017 sans jamais avoir atteint ce niveau d'organisation.... suite de l'article sur RFI