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Une loi en gestation pour réprimer la cybercriminalité au Burkina

Publié le mardi 13 mars 2018  |  Agence de Presse Africaine
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© aOuaga.com par G.S
Présidence du Faso : le nouveau gouvernement prend contact avec le chef de l`Etat
Mercredi 13 janvier 2016. Ouagadougou. Présidence du Faso. Le nouveau gouvernement avec à sa tête le Premier ministre Paul Kaba Thièba a eu sa première prise de contact avec le chef de l`Etat Roch Marc Christian Kaboré. Photo : Réné Bagoro, ministre de la justice, des droits humains et de la promotion civique, garde des sceaux
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La capitale burkinabè abrite un atelier national d’élaboration d’un avant-projet de loi pour la répression de la cybercriminalité au Burkina Faso, a appris APA, mardi, auprès du de la Justice.

La rencontre qui se déroule jusqu’au jeudi 15 mars, est une initiative du ministère de la Justice, des Droits humains et de la Promotion civique.

Le ministre en charge de la Justice, René Bagoro, qui s’exprimait à l’issue de la cérémonie d’ouverture de la rencontre dit attendre avec intérêt, «le document qui permettra de sécuriser l’économie numérique au Burkina Faso».

L’atelier réunit, durant quatre jours, une vingtaine de spécialistes du domaine informatique, du secteur privé et de la recherche, etc. avec pour mission principale «la rédaction d’un avant-projet de loi relatif à la répression de la cybercriminalité au Burkina Faso».

Les Termes de référence (TDR) de l’atelier renseignent que «de manière spécifique, il est attendu des participants, l’évaluation du cadre juridique existant pour déceler les insuffisances et les vides juridiques».

Au Burkina Faso, l’évolution rapide des technologies de l’information et de la communication handicape une définition pérenne des incriminations, mettant à nue les insuffisances du Code pénal de 2004.

Conscient de la nécessité de prendre des mesures de riposte en termes de politique pénale, le ministère de la justice, avec le soutien du Conseil de l’Europe, à travers le projet GLACY+, organise le présent atelier.


ALK/te/APA
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