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Electrique et médicaments en couverture des quotidiens burkinabè

Publié le lundi 12 mars 2018  |  Agence de Presse Africaine
La
© Autre presse par DR
La presse nationale dans les kiosques à journaux
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Les quotidiens burkinabè parvenus, lundi à APA, traitent de du démenti de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG) et de la sortie médiatique de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) à propos du déficit de l’énergie électrique.

«Déficit énergétique: Malgré la Centrale solaire…», écrit dans sa manchette, L’Observateur Paalga.

Ce journal fait remarquer que «les années se suivent et se ressemblent malheureusement comme des poteaux électriques pour les abonnés de la Société nationale d’électricité du Burkina (SONABEL)».

Ce faisant, nos confrère notent que « la période de forte chaleur est encore là, avec son lot de délestages ».

Aujourd’hui au Faso parle de «50 MW de déficit durant la période de pointe 2018», ajoutant que «seul l’effacement des auto-producteurs» peut combler ce manque d’électricité.

Le journal Le Quotidien, quant à lui, reprend en titre les propos du DG de la SONABEL qui estime que «si chaque consommateur (d’électricité, Ndlr) évite d’allumer une ampoule qui n’est pas utile, cela permettra d’économiser de précieux mégawatts».

Pour sa part, le journal Le Pays titre: «La SONABEL annonce des délestages», là où Sidwaya le quotidien national se veut précis lorsqu’il souligne que c’est «Ouaga et Bobo (qui) connaitront des délestages».

Sidwaya revient sur la conférence de presse des responsables de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG), affichant: «Circuit parallèle de vente de médicaments: la CAMEG se démarque».

A ce sujet, Aujourd’hui au Faso met en exergue: «Vente de médicaments aux terroristes du 2 mars 2018: le démenti de la CAMEG».

Le journal rapporte que le chef du département communication et relations publiques de la CAMEG, Mikaillou Kéré, a affirmé que contrairement à la rumeur ayant circulé sur les réseaux sociaux et certains médias en ligne, «la CAMEG n’est concernée ni de loin, ni de près à une supposée vente de produits pharmaceutiques à des terroristes».


ALK/te/APA
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