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14,7 milliards de dollars de la BM pour soutenir la croissance de l’Afrique en 2013
Publié le jeudi 1 aout 2013   |  Agence de Presse Africaine


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© Autre presse par DR
Madame Mercy TEMBON, Représentante Résidente de la Banque Mondiale au Burkina Faso


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Ouagadougou (Burkina Faso) - La Banque mondiale a mobilisé un montant record de 14,7 milliards de dollars afin de soutenir la croissance et le développement de l’Afrique au cours de l’exercice 2013(de juillet 2012 à juin 2013, selon un communiqué.

La Banque mondiale a engagé ce montant en vue de contribuer à l’amélioration des perspectives de développement du continent en dépit de l’incertitude de la situation économique dans le reste du monde.

« L’Afrique est au cœur des objectifs du Groupe de la Banque mondiale à l’horizon 2030 de mettre un terme à la pauvreté extrême et promouvoir une prospérité partagée et durable d’un point de vue environnemental, social et fiscal », explique ses responsables.

La Banque mondiale a accordé 8,25 milliards de dollars de nouveaux prêts, portant sur près de 100 projets aux pays africains.

Concernant les investissements pour le développement profitent au secteur privé, le volume total des engagements de l’IFC en Afrique subsaharienne, y compris les fonds mobilisés, a progressé pour atteindre le niveau record de 5,3 milliards de dollars, soit 34 % de plus que l’année précédente.

Le soutien de la Banque mondiale a porté prioritairement sur des projets transformationnels dans l’agriculture et l’électricité, ainsi que sur les filets de protection sociale, les transferts conditionnels de fonds en faveur des familles pauvres, les programmes de création d’emplois pour les jeunes et l’enseignement supérieur.

Comme perspectives, la banque recommande d’accélérer l’utilisation de la science et de la technologie.

« L’avenir de l’Afrique dépendra de sa capacité à adopter plus rapidement des technologies existantes et à venir.

Des gains importants de productivité sont possibles si l’on dispense une meilleure formation en science et en technologie aux Africains, et si l’on investit dans les nouvelles technologies agricoles », indique-t-elle.

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