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Politique, escroquerie et justice au menu des quotidiens burkinabè
Publié le vendredi 2 mars 2018  |  Agence de Presse Africaine
La
© Autre presse par DR
La presse nationale dans les kiosques à journaux




Les quotidiens burkinabè de ce vendredi traitent de divers sujets, dont la politique, la justice et un fait relatif à un détournement de médicaments.

«Sept nouveaux adhérents font chorus dernière Roch (Président Roch Marc Christian Kaboré, Ndlr)», titre Aujourd’hui au Faso, qui renseigne que l’Alliance des partis et formations politiques de la majorité présidentielle (APMP) a animé, hier jeudi 1er mars 2018 à Ouagadougou, une conférence de presse.


«A l’occasion, les conférenciers ont annoncé que ce regroupement de partis politiques qui comptait 31 membres s’est renforcé avec sept nouvelles adhésions portant ainsi à 38 les partis alliés», rapporte le journal.

A ce sujet, L’Observateur Paalga, affiche: «Majorité présidentielle: Sept partis disent oui à l’APMP».

Le même journal consacre sa manchette au putsch manqué de septembre 2015, dont le procès a été ouvert mardi dernier avant d’être suspendu.

Le journal rappelle qu’à l’ouverture du procès sur le coup d’Etat manqué de mi-septembre 2015, parmi les sujets qui ont suscité la polémique, figure la problématique de l’enregistrement audiovisuel et sonore des débats.

L’Observateur Paalga publie un écrit du juriste Amadou Traoré qui, dans une tribune, donne un éclairage sur l’état des lieux de la publicité des débats des procès au Burkina Faso et explique pourquoi il est nécessaire de règlementer les enregistrements.

Pour sa part, Le Quotidien informe que l’Organisation de la société civile (OSC) +Tous unis pour un Burkina apaisé (TOUBA)+ a, au cours d’une conférence de presse, animé hier jeudi à Ouagadougou, appelé la justice burkinabè à «jouer son rôle d’impartialité pendant le procès du putsch manqué du 16 septembre 2015».

Le même quotidien évoque le démantèlement d’un circuit parallèle d’écoulement des produits de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG).

Nos confrères précisent que les faits qui se sont déroulés à Bobo-Dioulasso (2e ville du Burkina Faso), ont abouti à l’interpellation de 16 personnes ont été interpellées et à la saisie d’un lot de médicaments.

A ce propos, Aujourd’hui au Faso titre: «Détournement de produits de la CAMEG et escroquerie: Un circuit de vente parallèle démantelé».

De son côté, le quotidien national Sidwaya note: «CAMEG de Bobo-Dioulasso: 16 agents détourneurs présumés de médicaments aux arrêts».


ALK/te/APA
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