« Je me retrouve seul candidat à ma propre succession et je pense que c’est un élément indicateur », s’est exprimé le docteur Arémou Mansourou après que le ministre burkinabè des sports, Yacouba Ouédraogo ait donné le top de départ des travaux du 18e congrès ordinaire de la CAHB.
Pour le président sortant, « il est normal qu’après 4 ans de travail, qu’on puisse marquer un arrêt pour faire une évaluation. Il ne faut pas négliger cet aspect de la chose, parce que nous devons mettre par devant les actions qui sont engagées pour permettre au handball africain d’aller de l’avant, de réduire le fossé qui nous sépare du référentiel du handball européen et prouver au monde entier que nous pouvons accéder un de ces jours à une des marches du podium ».
Arémou Mansourou précise également que « c’est un congrès électif certes, mais c’est un congrès ordinaire, statutaire qui répond aux dispositions en vigueur et il faut des hommes pour animer tout ça, pour conduire la mission et chacun de nous est utile, qu’on soit président de fédération, président de club ou président de la confédération ».
Le congrès se tient en présence président de la fédération internationale de handball, l’Egyptien Assan Moutaspha.