La commission nationale pour la Francophonie (CNF) a organisé, le jeudi 18 juillet 2013 à Ouagadougou, son assemblée générale. L’objectif était de partager les informations sur les activités de l’institution au Burkina Faso en 2012.
Donner un avis sur les questions d’importance relatives à la Francophonie, sur la qualité d’exécution des programmes issus des accords multilatéraux francophones, sur le rapport et le programme d’activités, telles sont les missions de l’assemblée générale de la Commission nationale pour la Francophonie (CNF). Pour la bonne marche de l’institution, elle doit se réunir, une fois par an, à la demande de son président, à savoir le ministre des Affaires étrangères et de la coopération régionale, Djibrill Bassolé.
C’est dans ce sens que l’assemblée générale de CNF s’est réunie, le jeudi 18 juillet 2013, dans la capitale burkinabè. Une session ordinaire qui a mobilisé tous les acteurs francophones du Burkina Faso, à savoir les représentants des ministères, des opérateurs francophones, de la société civile et des associations. Selon les organisateurs, il s’est agi de faire le bilan des activités menées en 2012 et surtout « partager et synchroniser les informations relatives aux actions de la Francophonie, contribuer à son rayonnement au Burkina Faso et reconnaître la visibilité du Burkina en Francophonie dans le cadre de la politique étrangère du pays des Hommes intègres, notamment en ces volets, paix, sécurité, démocratie, environnement et développement durable, jeunesse, éducation et formation professionnelle ».
Le directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères et de la coopération régionale, Amadou Dicko, a souhaité que sortent des travaux, des propositions pour dynamiser la CNF créé en 1993. Actuellement dirigée par Jean Baptiste Kambiré, la CNF a, entre autres, pour missions, d’initier, organiser et coordonner les relations de partenariat des institutions nationales avec les organes et les opérateurs de la Francophonie et promouvoir la langue.