Après Bamako et Accra, le constructeur franco-italien ATR a atterri à Ouagadougou pour une opération séduction. Objectif : promouvoir ses avions ATR-72 600 auprès des autorités qui désirent renforcer la flotte de la compagnie Air Burkina.
Le vol VS d’ATR s’est posé sans encombre, mercredi 13 décembre, sur le tarmac de l’aéroport international de Ouagadougou. Ce vol accueillait à son bord une guest-star, le ministre burkinabè des Transports, Souleymane Soulama, et une trentaine de passagers minutieusement choisis par les équipes du constructeur d’avions basé à Toulouse.
Alors que la compagnie nationale Air Burkina élabore un business-plan qui prévoit, en cas de feu vert de l’exécutif, l’acquisition de deux avions en vue d’ouvrir de nouvelles routes, les constructeurs comme Boeing, Airbus ou encore Embraer se bousculent au portillon pour promouvoir leurs offres.
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