La caravane panafricaine de PHILIPS dénommée « Du Cap au Caire » qui est à sa 4e édition a démarré le 14 mai en Afrique du Sud son voyage est prévu pour se terminer au Caire en Egypte, le 23 septembre 2013. Elle a traversé 18 villes dont Ouagadougou où elle a été au four et au moulin du 10 au 17 juillet 2013 à travers une série d’activités autour du thème principal de « La santé de la mère et de l’enfant ».
La caravane a pour objectif de présenter les activités de PHILIPS et ses partenaires locaux dans les différents domaines de la santé, de l’énergie et du bien-être. Elle a aussi pour mission de sensibiliser les différents acteurs du développement sur l’urgente nécessité d’investir dans la modernisation des infrastructures de santé et dans les énergies renouvelables.
Depuis le mercredi 10 juillet 2013, des activités ont été organisées. Des conférences-débats, un cross populaire à l’honneur de la mère et de l’enfant, une table-ronde sur l’état des lieux des OMD sur la santé de la mère et de l’enfant.
En tout cas, le passage de la caravane a connu un succès au regard de l’engouement des populations sur les différentes activités. Les responsables de la société ont saisi l’occasion pour prendre des engagements de jouer un rôle de premier plan dans l’amélioration des infrastructures sanitaires et de la santé maternelle et infantile. Ainsi PHILIPS s’engage à contribuer à la rénovation des infrastructures sanitaires du Burkina Faso et à soutenir les objectifs du millénaire pour le développement.
Elle lance une technologie performante et novatrice pour les accouchements sans risque, se propose de former plus de 100 professionnels de santé de Ouagadougou. C’est la première fois que la caravane s’arrête dans notre pays. « Les besoins en soin de santé de qualité augmentent au Burkina Faso », explique Peter Van de Ven, directeur général de PHILIPS-Afrique.
« La reprise économique du pays est remarquable, mais il y a un besoin urgent de professionnels de santé formés et qualifiés dans tout le pays. Nous voulons investir nos ressources au Burkina Faso, afin d’offrir aux populations de meilleures installations sanitaires dotées des dernières technologies pour réduire la mortalité maternelle et infantile », a-t-il ajouté.
Depuis plus de 30 ans, PHILIPS collabore avec le gouvernement burkinabè et le personnel de santé local pour améliorer les infrastructures hospitalières. Le groupe intervient dans le domaine de la formation continue et l’éducation des professionnels de la santé.
Dans le cadre de cette caravane elle a organisé des ateliers de formation clinique à l’hôpital pédiatrique Charles-De-Gaulle et au Polyclinique « Notre Dame de la Paix » sur la surveillance fœtale, les dispositifs de chauffage pour nourrisson, la prise en charge de la jaunisse et l’échographie clinique pour les sages-femmes, infirmiers de la maternité, obstétriciens et autres praticiens de la santé.
Ceux-ci pourront à leur tour former le personnel médical pour fournir des services de santé de base équitables et durables à tous en particulier aux mères et aux enfants.
Pour répondre à ces besoins en soins de santé maternelle et infantile, PHILIPS a présenté ses nouveautés en matière d’échographie ainsi que des systèmes de thermorégulation pour les nourrissons spécialement conçus pour les prestataires de soins des nombreux environnements cliniques du continent.
PHILIPS a également introduit un nouveau système d’imagerie ultrasonore qui permet de visualiser le visage du bébé. Avec un chiffre d’affaires de 24,8 milliards d’euros en 2012, PHILIPS est l’un des leaders du marché dans les domaines de la cardiologie, des soins de courte durée et des soins à domicile.
