Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Burkina Faso    Publicité
aOuaga.com NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Affaire Bassolé: La demande réexamen du Burkina rejetée, l’ONU insiste pour sa libération
Publié le mardi 12 decembre 2017  |  NetAfrique
Diplomatie
© aOuaga.com par A.O
Diplomatie : 12 nouvelles compétences en renfort
Mardi 12 août 2014. Ouagadougou. La cérémonie officielle de sortie de la 3e promotion de l’Institut national des hautes études internationales (INHEI) dénommée "Rayonnement" a eu lieu en présence du parrain Kadré Désiré Ouédraogo, président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`Ouest (CEDEAO). Photo : Djibrill Bassolé, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale




Les experts du Groupe de travail sur la détention arbitraire de l’ONU ont appelé jeudi les autorités du Burkina Faso à libérer immédiatement l’ancien ministre Djibril Yipéné Bassolé, qui a été arrêté après un coup d’Etat manqué en septembre 2015.

M. Bassolé, qui est âgé de 60 ans, est accusé d’avoir soutenu une tentative de renversement du gouvernement et a été inculpé d’attaque contre la sécurité de l’Etat et de collusion avec une puissance étrangère. M. Bassolé a toujours nié ces accusations.

En avril 2017, le Groupe de travail a examiné sa détention et a déterminé qu’elle était arbitraire. Le groupe de travail avait déjà appelé à l’époque à ce qu’il soit libéré.

M. Bassolé, qui a été Ministre de la sécurité (2000-2007) et par deux fois Ministre des affaires étrangères du Burkina-Faso (2008-2011 et 2011-2014), est sorti de prison et a été placé en résidence surveillée il y a deux mois. Les avocats de M. Bassolé ont alors demandé au Groupe de travail de rendre un nouvel avis sur cette détention, mais cette demande a été rejetée.

« Bien que les conditions de sa détention aient pu changer, la privation de liberté n’a pas cessé », a toutefois déclaré le Groupe de travail. « Nous appelons le gouvernement du Burkina Faso à respecter les normes internationales et à libérer M. Bassolé maintenant ».
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires