Ouagadougou - Les Etats généraux de la jeunesse, prévus du 15 au 18 novembre prochain à Ouagadougou, permettront aux jeunes burkinabè, à travers «des débats féconds», de réfléchir sur la problématique de leur participation optimale au renouveau socioéconomique et politique du Burkina Faso.
Ce sont environ 500 jeunes des 45 provinces du Burkina Faso et 7 de la diaspora qui vont réfléchir, à travers trois caucus, sur les préoccupations de la jeunesse.
Le premier caucus porte sur «l’organisation et l’accompagnement des jeunes pour leur participation optimale au développement».
Le second est intitulé « Rôle des pouvoirs publics, des jeunes et des partenaires techniques et financiers dans la construction d’une jeunesse responsable pour la mise en œuvre efficiente des politiques publiques».
Le dernier caucus a trait aux «Approches de stratégies pour un engagement citoyen des jeunes pour le développement ».
Ces trois caucus sont le cœur des Etats Généraux, a déclaré le ministre de la Jeunesse, de la Formation et de l’Insertion professionnelle Dr Smaila Ouédraogo, lundi matin au cours d’une conférence de presse.
«De ces débats féconds, sortiront les résolutions pour résoudre les problèmes qui minent la jeunesse», a-t-il dit.
L’accès à la formation professionnelle, l’accès aux crédits bancaires, l’organisation de la jeunesse, les relations entre jeunesse et pouvoirs publics sont, entres autres, les problématiques majeures auxquelles est confrontée la jeunesse burkinabè, a affirmé le Dr Smaila Ouédraogo.
Placés sous le thème «quelle gouvernance pour une contribution optimale de la jeunesse au renouveau politique, économique et social au Burkina Faso ? ».
Ce sont environ 700 à 800 personnes dont 18 conférenciers qui vont prendre part aux travaux qui seront marqués en plus des caucus, de 5 panels et de 12 sous-thèmes.
Agence d’Information du Burkina
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