La Direction générale des impôts (DGI) a lancé officiellement son 2e plan stratégique 2017-2021, le vendredi 27 octobre 2017 à Ouagadougou. L’objectif est d’être plus performante pour accompagner la mise en œuvre du PNDES.
«Devenir une administration moderne, une administration moderne, performante dans la mobilisation des ressources internes pour le financement du développement, orientée usagers, conforme aux standards internationaux et aux normes de la bonne gouvernance.performante dans la mobilisation des ressources internes pour le financement du développement…». Telle est la vision de la Direction générale des impôts (DGI) à l’horizon 2021. Trois orientations stratégiques figurent dans le nouveau référentiel de la DGI officiellement lancé, le 27 octobre 2017, à Ouagadougou. Le 2e plan stratégique 2017-2021 entend d’abord mobiliser des recettes budgétaires pour répondre aux besoins financiers de l’Etat, notamment ceux fixés dans le cadre du Plan national de développement économique et social (PNDES). Ensuite, il s’agit de construire une relation de partenariat et de confiance avec le contribuable, les partenaires et les autres régies de recettes. Enfin, l’objectif est d’améliorer les performances de la DGI par le management moderne des capacités institutionnelles et organisationnelles. Ce deuxième exercice de planification stratégique de la DGI lui permet de consolider les acquis résultant de la mise en œuvre des orientations du premier plan 2007-2015, qui a connu un taux de réalisation de 56%, selon le directeur général des impôts, Adama Badolo. « Il s’agit d’une confirmation de la maitrise de cet outil moderne de gestion orientée et axée sur les résultats pour un développement stratégique de la DGI », a-t-il affirmé. L’amélioration du recouvrement des recettes fiscales intérieures constitue la priorité dans un contexte de mise en œuvre du PNDES qui exige de la DGI une contribution à la mobilisation des ressources propres à hauteur de 43,3%, soit 55,1% des recettes fiscales, a soutenu M. Badolo. Avec comme acquis une somme de 7 milliards 592 millions de FCFA, a ajouté Adama Badolo, il reste 62 milliards 808 millions de FCFA à rechercher pour le financement des diverses opérations et activités à mettre en œuvre sur la période du plan. Et à l’horizon 2021, la DGI compte mobiliser environ 1092 milliards de F CFA. Quant au ministre en charge de l’économie, Rosine Coulibaly, elle a estimé que dans un contexte de redressement économique et de mutations sociales, l’amélioration de la mobilisation des ressources intérieures constitue un des piliers au succès des politiques de réformes économiques volontaristes engagées par le gouvernement. Elle a donc invité la DGI et les autres régies en charge de la mobilisation des ressources à fournir au quotidien des efforts particuliers exigés par le contexte du PNDES. Elle a souhaité qu’elles adoptent sans hésiter une démarche nouvelle dans les stratégies en impliquant le secteur privé et en recourant aux moyens et instruments innovants de recouvrement des recettes. « J’attendrai alors que chacun joue sa partition, moi y compris, et que les résultats soient périodiquement évalués, mesurés », a-t-elle ajouté. Une administration moderne, performante dans la mobilisation des ressources internes pour le financement du développement, orientée usagers, conforme aux standards internationaux et aux normes de la bonne gouvernance. une administration moderne, performante dans la mobilisation des ressources internes pour le financement du développement, orientée usagers, conforme aux standards internationaux et aux normes de la bonne gouvernance. une administration moderne, performante dans la mobilisation des ressources internes pour le financement du développement, orientée usagers, conforme aux standards internationaux et aux normes de la bonne gouvernance.Par ailleurs, Mme Coulibaly, tout en saluant le nouveau référentiel et les valeurs qui y figurent notamment l’intégrité, le professionnalisme, la solidarité, la responsabilité et le secret professionnel, a signé le contrat de performance qui scelle le pacte social entre elle et la DGI.
Mariam SOMDA/OUATTARA