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Burkina Faso : le taux de croissance en 2017 s’établirait à 6,9%
Publié le dimanche 22 octobre 2017  |  Xinhua
BAD
© aOuaga.com par A.O
BAD : c`est parti pour le jubilé d`or au Burkina
Mercredi 14 mai 2014. Ouagadougou. Centre international de conférences de Ouaga 2000. Le Premier ministre Luc Adolphe Tiao a officiellement lancé, au Burkina, les activités de la célébration des 50 ans de la Banque africaine de développement (BAD). Photo : Lucien Marie Noël Bembamba, ministre de l`Economie et des Finances et gouverneur du Groupe de la BAD pour le Burkina




Le taux de croissance en 2017 s'établirait à 6,9% au Burkina Faso contre 5,9% en 2016, souligne samedi une déclaration du ministère burkinabè en charge de l'Economie.
Cette conclusion relève d'une série d'échanges de la chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) pour le Burkina Faso avec les structures de l'administration burkinabè.
"C'est le signe que le Burkina est entrain de renouer doucement mais surement avec la croissance économique malgré les difficultés qui pèsent sur l'environnement économique national et international", précise le texte qui ajoute que "ce résultat a été rendu possible grâce à la bonne tenue des finances publiques et aux réformes mises en œuvre, à divers niveaux des services chargés de la gestion et de la mobilisation des ressources".
Selon le ministère en charge de l'Economie, il s'agit d'une performance qui appelle de nouveaux défis à relever pour l'année 2018 et à ce titre, le Burkina Faso entend poursuivre et accentuer ses efforts dans le domaine des reformes et de la lutte contre l'insécurité.
Les acteurs du secteur privé ont souhaité, au regard du rang du Burkina Faso dans le classement doing business, des réformes plus audacieuses notamment sur le transfert de propriété, la protection des actionnaires, le commerce transfrontalier et la rationalisation des licences d'affaires, affirme le ministère de l'Economie.
"Ils ont par ailleurs sollicité une attention particulière du FMI sur entre autres, le coût et la qualité des facteurs de production, l'électricité, les infrastructures, les télécommunications et les ressources humaines", a-t-il dit.
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