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30 milliards FCFA de la Banque mondiale pour appuyer la décentralisation au Burkina
Publié le samedi 23 septembre 2017  |  Agence de Presse Africaine
Un
© Autre presse par DR
Un immeuble de la Banque mondiale




La Banque mondiale vient d’accorder un montant de 30 milliards de francs CFA au Burkina Faso pour appuyer la décentralisation dans le pays, a-t-on constaté vendredi à Ouagadougou, à l’occasion de la signature de l’accord de financement.

Le document a été signé par la ministre burkinabè de l’Economie, des Finances et du Développement, Hadizatou Rosine Coulibaly/Sori et le représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso, Cheick Kanté.

L’accord signé va permettre de financer la phase additionnelle du Programme d’appui aux collectivités territoriales (PACT), à travers lequel la Banque mondiale met à la disposition du Burkina Faso, un don d’un montant de 60 millions de dollars US, soit environ 30 milliards de FCFA.

Dans son intervention, M. Kanté a relevé que la Banque mondiale s’est engagée à soutenir les efforts et les politiques du gouvernement burkinabè, en veillant à ce que le programme de décentralisation offre une meilleure prestation de services, et contribue à réduire l’extrême pauvreté et à stimuler la prospérité partagée au Burkina Faso».

Il a rappelé que le PACT a été mis en œuvre depuis 2011, avec un financement initial de la Banque mondiale de 60 millions de dollars. Et d’ajouter que la performance globale de la mise en œuvre des différentes composantes est jugée satisfaisante, d’où l’obtention d’un financement additionnel.

Le représentant résident de la Banque mondiale dit fonder l’espoir que la mise en œuvre de cette phase du PACT se fera dans un environnement beaucoup plus favorable à l’ancrage de la décentralisation.

Pour sa part, le ministre burkinabè de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Siméon Sawadogo, a expliqué que malgré les troubles sociopolitiques que le pays a connus, et qui ont eu nécessairement des répercussions négatives sur la mise en œuvre des projets et programmes de développement, le PACT a pu atteindre l’essentiel des objectifs qui lui étaient assignés.

En guise d’illustration, il a évoqué les taux de décaissement de 99,56%, et d’exécution physique de 95%.

ALK/od/APA
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