La mise sur pied d'une force conjointe anti-terroriste réunissant le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad, annoncée depuis des mois, tarde à se concrétiser.
Projet du G5 Sahel (Burkina, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad) financé par les Émirats arabes unis, l’école régionale de guerre de Nouakchott n’ouvrira pas ses portes en septembre comme prévu, mais en janvier 2018, les programmes de formation n’étant pas encore au point.
Alors que les 50 millions d’euros promis par l’UE pour financer une force conjointe n’ont toujours pas été versés au G5 Sahel, l’organisation continue de tourner à vide. Le Mauritanien Najim Elhadj Mohamed, son secrétaire général, est aux abonnés absents, et aucune décision significative n’a été prise sous les présidences tournantes du Tchad – aucun papier n’a été signé – et du Mali, en cours.
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